À propos de trials indoors en France …

Avec le moindre impact de la pandémie de Covid en France, nous avons la chance de voir refleurir des trials indoors d’exhibition, dont le prochain sera celui de Chambéry programmé en deux sessions : une Vendredi soir et une Samedi en fin de journée  (d’ailleurs il reste des places pour celui de ce Samedi => vous pouvez réserver votre place en cliquant ici). 

Si vous voulez faire le plein d’un trial indoor, il n’y a pas d’autre choix que de proposer un plateau de rêve, avec les Toni BOU, Adam RAGA, Jaime BUSTO, Matteo GRATTAROLA et autres pilotes tels que Benoit BINCAZ.

Avec eux le spectacle sera au rendez-vous et les passionnés de trial, mais aussi les non-trialistes amateurs de sensations fortes et de motos, seront ravis du spectacle qui leur est offert.

Mais pourquoi ne pas en profiter pour faire encore mieux ?

Si, certes, ce type d’indoor profite largement à l’image du trial, avec le nombre restreint de nos pilotes nationaux capables de se confronter à ces cadors cités plus haut, on ne peut pas dire que, malheureusement, cela valorise beaucoup le trial tricolore.

Alors pourquoi ne pas imaginer ce qui se fit il y a une dizaine d’années avec les trials urbains, et l’appliquer aux indoors ?

Concrètement la soirée serait divisée en deux parties : la seconde partie telle que nous la connaissons avec les indoors actuels et la confrontation des meilleurs mondiaux, et une première partie, dédiée à un “Championnat de France de Trial Indoor” où se confronteraient les pilotes de la catégorie ÉLITE, les 5 meilleurs S1 du Championnat de France (avec la nouvelle appellation) et … pourquoi pas … comme seul l’indoor de Barcelone ose le faire, les trois meilleures Françaises ? 

Certes cela générerait un peu plus de travail à l’organisation, mais quelle belle opportunité pour nos français de se montrer à un public nombreux, sur plusieurs épreuves !

Bien entendu le sujet mérite d’être approfondi, travaillé : mais le jeu n’en vaut-il pas la chandelle ?

Ne pensez-vous pas que la Commission Trial de la FFM ne devrait-elle pas prendre son bâton de pèlerin, de rencontrer les organisateurs de ces trials indoors, et de travailler avec eux afin de mettre à leurs disposition des moyens financiers, techniques, de communication etc. pour faire valoir les trialistes tricolores ?

Alors Messieurs, vous qui dirigez le trial Français depuis de très nombreuses années : cap ou pas cap ?